Chapitre 20 (p.144 à 148)

Thérèse et Laurent se marient. La morsure de Camille torture plus que jamais Laurent. Les deux époux croient que le « spectre » de Camille ne les hantera plus dans leurs nuits.

Chapitre 21 (p.149 à 161)

Première nuit : la nuit de noces. Thérèse et Laurent n’éprouvent plus aucune passion mutuelle. Ils n’arrivent pas à parler d’un autre sujet que de Camille. Le portrait que Laurent a fait de Camille les terrorise ; ils croient que Camille revit à travers son portrait et les observe. Ils n’arrivent pas à dormir de la nuit, terrorisés.

Chapitre 22 (p.162 à 169)

Les nuits suivantes sont encore plus cruelles : la hantise de Camille s’accroît encore, les deux époux passent des nuits encore plus atroces qu’avant leur mariage.

Chapitre 23 (p.170 à 173)

Les époux se détestent car leur mariage n’a pas résolu l’obsession de Camille et l’a, au contraire, encore accru. Les nuits deviennent toujours plus insupportables.

Chapitre 24 (p.174 à 182)

Le seul moyen pour les époux d’échapper à leur hantise est la compagnie, sous la forme des réceptions du jeudi soir, ou de s’occuper de Madame Raquin, qui croit, de même que Grivet et Michaud, au bonheur parfait de Laurent et Thérèse.

Chapitre 25 (p.183 à 191)

Après 4 mois. Laurent quitte son travail au chemin de fer d’Orléans et loue un atelier de peinture. Ses tableaux, des portraits, ressemblent tous à Camille. Désespoir de Laurent. Madame Raquin devient peu à peu paralytique.

Chapitre 26 (p.192 à 201)

Madame Raquin devient totalement paralytique : elle ne peut même plus parler. Désespoir des époux, pour qui la présence de Madame Raquin détournait leur esprit de Camille. Les deux époux, qui se haïssent et se battent, se laissent aller en présence de Madame Raquin et celle-ci comprend que la mort de son fils était un meurtre prémédité par Laurent.

Chapitre 27 (p.202 à 207)

Un jeudi soir, Madame Raquin, au prix d’un effort suprême, veut dénoncer sur un bout de papier