Résumé d'un extrait d'ornement et crime d'adolf loos
Ce texte est la preuve que son travail consistait à supprimer les fioritures, afin de faire apparaître l’agencement, la construction de ses créations, laissant apparaître à l’intérieur chaque matériau, plutôt noble, à l’état brut, toujours. Ainsi, Loos nous incite à partager sa façon de vivre, et donc d’interpréter ce qu’il constate.
En effet, on constate que l’art a pour origine les arts primitifs. Les hommes avaient ce besoin et ce plaisir de décorer tout ce qu’ils possédaient, ou étaient en mesure de toucher, de créer. Aujourd’hui encore, chacun éprouve une jouissance en créant, mais les moyens et les méthodes ont évolué durant les siècles. C’est en remarquant cela que j’ai pu déduire que l’ornement, petit à petit, s’éteint des nouvelles modes. Selon moi, ceci dépend du degré de culture : un homme aujourd’hui ayant les mêmes besoins qu’un homme préhistorique est considéré comme un aliéné, un fou, ou un délinquant. Plus une personne est instruite, plus elle remarquera que l’on peut se passer de ces fioritures. Oui, l’ornement est désormais dépassé, et cela fait notre originalité, notre grandeur.
Cependant, on retrouvera toujours des personnes attachées aux anciennes valeurs, et aux anciens styles. Ces nostalgiques, pour moi, subissent une mode qui n’est plus la notre. On préfère la sobriété, l’état brut d’un objet, et non un objet décoré, peinturé, marqueté, pyrogravé, ciselé, bariolé, et j’en passe.
Et ce n’est pas tout, car ces personnes sont sans doute manipulées par l’Etat, qui pense que l’ornement est un acquis de la société et de ses valeurs. Par conséquent, il faudrait sans arrêt le renouveler, le remettre à jour ou l’adapter peut-être ? Mais c’est avec conviction que je maintien mon parti : depuis quelques années, l’ornement n’a plus sa place dans notre société, parmi