-------------------------------------------------
Revue de Presse Economique

L’économie des entreprises profitent à celle du pays et ce qui se passe à l’échelle de l’entreprise est aussi transposable au pays.
En termes de développement durable, la croissance s’illustre comme le moteur de l’économie.
I-Constats/Problèmes liés à un mauvais modèle économique
Alors qu’on pensait que la mondialisation favoriserait les échanges entre les pays, on observe le contraire et le déclin de l’économie occidentale au profit des pays en voie de développement. Il apparaît donc comme un facteur de ralentissement de croissance. Un autre frein à la croissance est l’interventionnisme de l’Etat.
Cette croissance passe par une augmentation de la productivité et donc de l’embauche. Or la hausse de la productivité passe par l’accès à la formation et l’innovation, et peu d’entreprises sont prêtes à recruter quand il s’agit de jeunes par exemple à cause de la complexification des cadres légaux liés à l’embauche.
Pour baisser le taux de chômage, il faudrait accroître le PIB. Cela augmenterait les recettes fiscales et donc la réduction des déficits or ce n’est pas le cas dans la plupart des pays européens.

On constate également que suite à la crise économique, les ménages ne sont plus disposés à trop dépenser et changent donc leurs habitudes de consommation en se concentrant sur l’alimentaire en fréquentant le hard discount et le ludique. En effet, l’entreprise étant le reflet du pays, si elles ont du mal à être rentables, l’économie en sera affectée.

II-Les effets négatifs des mesures prises par les gouvernements
L’emprunt ne garantit pas de croissance à long terme. En effet, non seulement c’est « tricher », mais n’ayant pas développé d’activités directement productives, c’est le système financier qui s’accapare de la richesse du pays. Comme c’est le cas de l’Occident, le monopole de la puissance économique est perdue et le redressement est long à se faire.

Afin de faire