La seconde méditation de René Descartes commence avec le philosophe qui dit qu’il n’est plus sûr de rien. Il doute de tout ce qu’il a appris depuis sa naissance. Il chercher alors un point fixe (une certitude) d’où il pourra construire la base de sa connaissance. Il recommence donc à zéro, il se dit que la seule chose qui peut être estimé véritable est qu’il n’y a rien au monde de certain. C’est de cette façon qu’il vient à sa première certitude : « Je pense donc je suis ». Il commence alors à se poser des questions pour redéfinir ses connaissances par exemple : « qu’est-ce qu’un homme ». Il N’est cependant pas capable de répondre à ses questions puisqu’ils mènent à d’autres questions qui en mène a d’autre. Il se concentre donc sur les attributs de l’âme. En supposant qu’il y a une force plus puissante qui essaye de le tromper, il questionne avec précaution. Il se considère alors être une chose qui pense, un esprit. Il définit alors une chose qui pense : « Qu’est-ce qu’une chose qui pense? C’est-à-dire une chose qui doute, qui conçoit, qui affirme, qui nie, qui veut, qui ne veut pas, qui imagine aussi, et qui sent. » Ensuite il examine les sens. Il en déduit qu’ils sont trompeur avec l’exemple de la cire. On aperçoit que c’est de la cire une fis qu’elle est dure mais quand elle est fondue elle reste de la cire même si elle ne dégage pas la même odeur ou qu’elle n’a pas la même apparence. C’est donc par le jugement que nous sommes capables de comprendre que c’est de la cire et non quelque chose de nouveaux.