Répétition antique :
Sonne : les heures sur un timbre et les quarts sur deux timbres.
Fonctionnement :
On appui sur le pendant, ce qui fait descendre la crémaillère. La crémaillère est également le plongeur des heures qui en tombant sur son limaçon va dicter combien de tour le barillet de sonnerie sera armé. Ce dernier est armé à l’aide d’une chaine qui est directement lié à la crémaillère. le rochet des heures est monté à carré sur l’arbre de barillet donc il sera également armé de façon à faire passer le nombre de dents devant la levée des heures en fonctions du nombre de coups à sonner.
Le limaçon et l’étoile des heures sont montés librement sur un tenon fixer sur le pont du tout-ou –rien. Ce dernier retient à son extrémité la pièce aux quarts pour l’empêcher de venir contre la came des quarts. Il faut aussi savoir qu’il peut se déplacer d’un certain angle limité par une goupille. Donc quand le plongeur des heures vient chercher l’information sur le limaçon des heures, il va déplacer le tout-ou-rien légèrement mais suffisamment pour libérer la pièce aux quarts qui, elle, ira chercher l’information du nombre de quart à sonner respectivement sur sa came. Cette action permettra de libérer la levée des heures afin qu’elle puisse se positionner en face des dents du rochet des heures.
Une fois toutes ces opérations effectuer la sonnerie peut commencer :
Les dents du rochet des heures seront les premières à rencontrer la levée des heures et sonner le nombre d’heures demandées. Ensuite le doigt d’entraînement monté à carré sur l’arbre du barillet de sonnerie va remonter notre pièce aux quarts et faire sonner le bon nombre de quart en fonction de la came des quarts. Tout ceci terminer la pièce aux quarts va débrayer la levée des heures des dents du rochet des heures afin que pour le prochain armage, ces dernières puissent passer sans problème. Puis la pièce aux quarts va venir se bloquer en dessous du tout-ou-rien.
Chaque marteaux ont un ressort ainsi qu’un contre