Réfugiés environnementaux
Plan :
Introduction (définition du réfugié et protection des réfugiés en DI)
I. De la possibilité d’établir un statut de réfugié environnemental avec l’assurance de la protection par le DI
A. Quels critères pour définir le réfugié environnemental ? Réfugié environnemental, réfugié comme les autres ?
B. Protection du réfugié environnemental assuré par quel Droit : Droit International, Droit Humanitaire (HCR), ou DIE ? Quelles institutions devraient garantir leur protection ? (en créer une ou faire avec celle déjà existante ?) Création d’une nouvelle convention ? Ajouter un nouveau protocole additionnel à la Convention de Genève ?...
II. De la pertinence d’établir un statut de réfugié environnemental : Difficultés soulevées…
A. Procédures pour les demandeurs d’asile de se voir désigner le statut de réfugié sont longues, fastidieuses du fait du nombre de demandeurs en constante augmentation => risque en créant un nouveau statut de « réfugié » d’encourager l’augmentation des demandeurs d’asile (effet incitatif) et d’obstruer encore plus les organismes chargées de traiter les demandes + difficulté à connaitre les véritables motivations qui ont poussé l’individu à immigrer (seulement liées à une dégradation de l’environnement / éco / politique/ tous ça à la fois …)
B. Caractère irréversible de la dégradation de l’environnement => augmentation du nombre de réfugiés environnementaux => Pas de possible retour en arrière (contrairement au cas de réfugiés politiques qui peuvent revenir dans leur pays une fois le conflit apaisé ou changement de gouvernement) => Que faire avec tous les réfugiés ?=> Mieux vaut prévenir que guérir, donc solution à long terme serait d’éviter plus de réfugiés en prenant plus de mesures contraignantes et efficaces pour ralentir voir stopper la dégradation de l’environnement
Conclusion :
Position des ONG environnementales ? Société civile ? Quelles sont les mesure déjà prises par les pays