Rédaction sur la fraude aux examens
Dans un premier temps nous verrons les différentes techniques de triches employé et dans un second temps nous verrons s’il existe réellement un moyen d’y faire face.
De nos jours, les moyens de triches ont évolué, ils ne sont passés de simples feuilles à une révolution technologique ; ou on y trouve aussi de la corruption.
Premièrement, avant toutes cette avancé technologique, il y a eu « les papiers de triche » qui consisté à écrire ses cours en petits caractères sur la plus petite des feuilles possible de façon à la cache de l’examinateur.
Aussi, certaine personne se faisait représenter par quelqu’un d’autre, de façon a bénéficié de la meilleure prestation oral, mieux qu’il ne peut fournir lui-même.
Ou, pire, aller jusqu’à la corruption d’un examinateur pour passer une session d’examens, ce qui revient quasiment à l’obtention du diplôme.
Puis, l’arrivé d’internet a engendré et influencé beaucoup d’outils technologiques.
Le Smartphone est l’outil le plus utilisé par les tricheurs, puisqu’il est multifonction, via des applications on peut tricher sous formes audio en enregistrant, à l’oral ses cours, c’est le même principe qu’une dictée, sauf que cela laisse une trace audio. On peut tout aussi bien tricher sous forme d’antisèche via l’application « bloc note » qui est le même principe que les vieilles antisèches , sauf que ici l’écrit est numérique et une fois supprimer il n’y a plus aucune trace. Mais la majorité des fraudeurs aux examens utilisent leurs Smartphone pour trouver leurs réponses sur internet.
D’autre, Néanmoins font preuve d’originalité en essayant des techniques qui deviennent de plus en plus sophistiquées, il y a la montre-téléphone et le stylo-téléphone, qui est presque