Ce désir se faisait ressentir, car cette ennuie me possédait au plus profond de mon être. Mais le bonheur de retrouver ma femme, dans mes appartements, bien au chauds, m'enlevais cette douleur. Les deux heures et dix minutes passées, je pris le train qui me ramenais à ma famille.
De retour chez moi, ma première pensée fût pour l'amour de ma vie, celle qui partageait chaque instant de mon existence, bref celle que j'aime. Poussant ma porte,Mon épouse me sauta dans les bras :
« oh, chérie, tu m'as tellement manqué, je pensais que tu avais refait ta vie là-bas
-Mais non, ma puce, pour rien au monde je te quitterais,je suis juste resté un peu plus longtemps car il y avait plus de travail que prévus, c'est tous
-regarde Baptiste, tu te rappelle de Martin, le nourrisson que tu laissais, et bien le voilà jeune enfant de 3 ans.»
Après les retrouvailles, c'est à dire le lendemain, je devais garder mon enfant que je n'ai pas vu depuis 3 ans. Enfin ! J'aurai un moment seul à seul avec la chair de ma chair,cela me faisait plaisir, mais Maryse,ma moitié, mon épouse, commencera son travail a 2 lieues à pieds de notre demeure.
Me voilà seul avec mon petit martin :
« alors toi t'as drôlement grandi depuis que je suis partis, mais maintenant je suis là pour remplacer ta mère et t'éduquer...»
[la sonnette de la porte retentît]
Mais qui est-ce que ça peut être a 7h00 du matin,je descendis les escaliers,curieux de connaître la personne qui réclamer ma venue devant mon entrée :
« Bonjour messieurs, je me présente Jean Delacroix, huissier de justice, je me vois dans la contrainte de prendre votre demeure: cause, trop d’impôts non payés
-Vos propos sont faux et calomnieux, c'est honteux, ma femme a payés chaque mois
-je ne crois pas, c'est mon collègue qui fait les compte et ,apparemment votre foyer ne paye pas depuis deux ans, donc j'ai l'obligation de reprendre vos biens, sur ce je vous demanderez de partir
-mais où allons nous vivres j'ai un enfant de 3 ans a élever
-il fallait y