Rédaction au passé simple
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Je venais d’acheter une vieille battisse que je voulais retaper pendants mon temps libre, ou je ne présidais pas le tribunal grande instance. Un soir, je venais y faire quelques arrangements quand j’entendis un bruit et un chat noir sauta du toit. Je rentrai dans la maison, la porte d’entrée crissait. Le plancher craquait à chacun de mes pats et semblait pouvoir s’écrouler a chaque mouvement. La lumière ne marchant pas, j’avais prévus une lampe torche. J étais dans la cuisine quand la porte que j’avais laissé ouverte se claqua brusquement. La maison sentait l’odeur du renfermé, je décidai d’ouvrir toutes les fenêtres. Le vent s’engouffra et un tat de feuilles posées sur la table de la cuisine s’envola. Pendant que je cherchais ces feuilles éparpillées dans la pièce, le plancher se mit à craquer. Il me semblait entendre des pats dans le salon. J’ouvris la porte et je vis sur le mur que j’éclairais avec ma lampe une silhouette qui disparut aussi tôt. Je pris peur et recula, je trébuchai dans un carton et tomba sur le sol. Je criai de douleur mon bras me faisait extrêmement mal. Ma lampe se marchait plus. J’étais dans un noir si dense puisque les volets étaient fermés. Je ne pus retrouver une bougie pour m’éclairer. Je m’appuyai sur le mur plein de poussière. Je ne voyais rien avec se noir, comme si j’étais dans une énorme boite noire fermée. La fatigue pesait et je décidai de partir mais la porte d’entrée ne s’ouvrait plus, d’ ailleurs aucune des portes ni des fenêtres ne s'ouvris. J’étais enfermé pour la nuit ici, je décidai de cher un endroit où dormir. Dans mon sommeil j’entendais q’ une voix m’appelait, je me réveillai brusquement et cette voix que je croyais entendre seulement dans mon sommeil je l’entendais aussi tout éveiller. Mon matelas était dur et inconfortable comme une planche de bois. La nuit fut horrible, je pensais de plus en plus que j’avais bien acheté une maison hantée ! Mon cœur s’emballa et battait de plus en plus fort. Mon téléphone ne marchait