bonnes remarques. mentionner molière est intéressant car molière fait tomber les masques (les précieuses, le tarftuffe, sont démasqués) -Julien vit un véritable amour avec madame de renal, mais son mari est un bourgeois grotesque (on ne plante que des arbres qui donnent du "revenu", tout ce qui est bâti ou planté fait référence à l'argent - difrence avec le pur plaisir des âmes nobles - mais nées trop bas par malchance -) le personnage de Valenod et toutes ses prtétentions de bourge ignoble qui affame les pauvres dont il a la charge (la scène où il est à table et où Julien s'aperçoit qu'on fait taire les pauvres malheureux qui chantent est significative) Valenod est THE CARICATURE au début. M de Rênal qui songe au prix de son secrétaire en acajou qu'il vient de détruire (alors qu'il devrait être préoccupé davantage de savoir où sont les lettres, et s'il ya en a) -- Tout ce qui se passe au séminaire est pure comédie, mais atroce, ce sont de gros ignorants soumis à la dénociation et à la main de fer de la Congrégation (nous sommes dans la période où les aristocrates -- Dieu, la religion la terreur qu'elle inspire, tout a repris le dessus depuis la chute de napoléon, le grand modèle qui hante l'esprit de Julien) -- pour Mathilde, elle n'aime que d"après le modèle très ancien de ce la Môle (du XVI ème siècel) qu'elle voit reparaître à travers Julien) tu peux mettre mille exemples de ce type. la où le roman est roman et pas seulement comédie de répliques et d'analyse, c'est bien sûr le fameux "miroir qu'on promène le long du chemin" il permet d'entrer à fond dans les pensées et la psychologie des personnages, l'intrigue , le tableau des moeurs, les complots, les duels, les lettres du personnage russe à recopier une par une, tout cela fait "travailler" la société de la Restauration sous nos yeux. tu peux terminer avec l'oeuvre de Stendhal, lecteur des mémoires de Saint-Simon, et qui fait un mélange continuel d'observation psychologiques, et qui est l'inventeur