Rosanvallon, la légitimité de pierre rosanvallon
Puis les bouleversements des années 1980 ont affecté les fondements de la légitimité. Pierre Rosanvallon a identifié trois nouveaux registres de légitimité dans nos démocraties contemporaines : l'impartialité, la réflexivité et la proximité.Ces années 80 étaient caractérisées par une idéologie impartiale. Aux États-Unis, en réponse aux scandales de corruption de la fin du XIXe siècle, l'intégrité du processus décisionnel a été protégée des clameurs des politiciens. De nombreuses autorités indépendantes voient le jour. En France, par exemple, des autorités administratives telles que la Commission nationale de …afficher plus de contenu…
En effet, on parle d’unanimité comme concept majeur au sein de la démocratie. Mais aujourd’hui l’unanimité et majorité se confondent et ceux au détriment de l’union du peuple. En effet, au sein de notre république aujourd’hui il suffit pour nos élections présidentielles, qu’un candidat au second tour récolte plus de voie que son opposant. Dans le second tour de cette année, Mr. Macron a récolté 58,54% des voix des personnes qui se sont exprimés. Il est donc majoritaire mais son élection n’est pas unanime car Madame Lepen à réuni 41,46% des voix. Le bilan ne fait que s’alourdir si on ajoute à cela le taux d’abstention. En prenant compte celui-ci, Mr Macron ne récolte même pas la moitié des voix des personnes inscrites sur listes électorales. Seulement 38,52%.Donc aujourd’hui, notre président ne fait pas l’unanimité, ce qui justifie pourquoi il y a besoin pour que la démocratie soit juste que les trois