es en trainToutefois, ce débat n’a pas permis jusqu’à présent de clarifier certaines confusions engendrées par la spécificité de chaque terme, de chaque approche, de chaque acteur. En résulte un champ souvent flou, pour une notion le plus souvent qualifiée de « fourre-tout », et dans lequel les spécialistes ont eux-mêmes du mal à se mouvoir alors même qu’une forte tendance novatrice se fait jour, questionnant non seulement la gouvernance des pays récipiendaires de l’aide, mais aussi la gouvernance de l’aide elle-même. Bien plus, au-delà du développement, ce sont les défis communs de l’humanité qui se trouvent mis ees en trainToutefois, ce débat n’a pas permis jusqu’à présent de clarifier certaines confusions engendrées par la spécificité de chaque terme, de chaque approche, de chaque acteur. En résulte un champ souvent flou, pour une notion le plus souvent qualifiée de « fourre-tout », et dans lequel les spécialistes ont eux-mêmes du mal à se mouvoir alors même qu’une forte tendance novatrice se fait jour, questionnant non seulement la gouvernance des pays récipiendaires de l’aide, mais aussi la gouvernance de l’aide elle-même. Bien plus, au-delà du développement, ce sont les défis communs de l’humanité qui se trouvent mis en perspective par la gouvernance : réalités n perspective par la gouvernance : réalités es en trainToutefois, ce débat n’a pas permis jusqu’à présent de clarifier certaines confusions engendrées par la spécificité de chaque terme, de chaque approche, de chaque acteur. En résulte un champ souvent flou, pour une notion le plus souvent qualifiée de « fourre-tout », et dans lequel les spécialistes ont eux-mêmes du mal à se mouvoir alors même qu’une forte tendance novatrice se fait jour, questionnant non seulement la gouvernance des pays récipiendaires de l’aide, mais aussi la gouvernance de l’aide elle-même. Bien plus, au-delà du développement, ce sont les défis communs de l’humanites en trainToutefois, ce débat n’a pas permis jusqu’à présent de