Dans l’antiquité, le roman n’existe pas mais il y des épopés (ex : Homère qui a écrit l’Iliade et l’Odysée). Ce sont des héros courageux, et rusés confrontés à des danger (ex : Ulysse et le Cyclope)
Au moyen-âge , on écrit en langue romane et non plus en latin. Romane = Romans. Lancelot, le chevalier de la charrette ou Yvain, le chevalier du Lion (Chrétiens de Troyes) ou le roman de Renart, la veine comique du roman.
Au XVI ème siècle, le grand romancier est Rabelais, dont les héros sont des géants, Pantagruel et Gargantua. Il mêle l’aspect chevaleresque, l’aspetct comique et celui philosophique.
Au XVII ème siècle on retrouve la veine satirique et comique (ex : Don Quichotte de Cervantes, qui part combattre des moulins à vent). En France, Paul Scarron « le Roman comique ». Apparition d’un nouveau type de roman « psychologique » dans lequel les sentiments sont annalysés.
Au XVIII ème siècle, c’est le siècle de l’individu. Les Lumières = Penser par soi-même. « Ait le courage de te servir de ton propre entendement » de Kant dans Le domaine du roman cela signifie qu’il va y avoir de vrai personnages différenciés, élaborés ayant une vie et un passé.
Au XIX ème siècle, plusieurs mouvement littéraire se superposent : la vague romantique. (Goete, les souffrances du jeune Weither ou Chateaubriand, René), le réalism (Balzac, Flaubert, Stendhal, Eugène de Rastignac), le naturalisme. L’apparition d’ouvriers dans le roman.
Au XX ème siècle, Freud découvre l’inconscient, désaroi => Le personnage de roman. Camus, l’Etranger (Il est étranger à lui-même), 1942 ; indifférence du personnage. En 1960 apparaît le « nouveau roman » = Alain Robbe, Grillet, Nathalie Sarraute, Michel Butor (Marguerite Duras). C’est aussi le temps des doutes, des découvertes de la psychanalise. C’est une période de désarroi.