Roland barthes et la langue
728 mots
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1)Tout d’abord Roland Barthes dit « de ce qu’il n’y a point de parallélisme entre le réel et le langage » montre que la langue est indispensable pour l’homme et le réel est un obstacle entre les deux. Nous pouvons même dire que nous faisons produire ce qu’il a été déjà fait comme les poèmes figuratifs ou encore les calligrammes de Guillaume Apollinaire. Ensuite Roland Barthes parle de « l’histoire de la littérature » ce qui nous référence à l’origine de l’écriture étudié en cours. Roland Barthes veut nous montrer ce que les auteurs ne veulent pas, qu’au cours du temps nous faisons que reproduire de ce qui a déjà été fait ou encore inventé « des productions de langage ». Il veut aussi insister au cours du temps l’écriture perd son originalité que nous verrons par la suite et d’autres mots ou encore langage se crée ce qui favorise l’évolution du langage. Enfin le texte de Roland Barthes reflète bien ce que nous avons étudiés en cours. Roland Barthes dit « dont les hommes ont usé pour réduire
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Dans le texte de Paul Claudel, il nous dit qu’il n’y a pas de rapport entre les et les sons « il n’y a pas de rapport entre le son et le sens d’un mot » et qu’il n’y a pas d’arbitraire « le rapport soit purement et non arbitraire ». Pour finir l’écriture a eu une modification au cours du temps et il a perdu son originalité. Aujourd’hui l’image prend le dessous sur l’écriture. Cependant l’un ne va pas sans l’autre cela reste un fait. Il faut savoir que l’idéogramme renvoie à un concept que ça soit chez Claudel avec le toit. Nous avons l’impression que l’écriture est une image qui raconte une histoire, comme si les voyelles sont vivantes comme Paul Claudel l’a mentionné dans le son texte « une représentation des objets ». Ainsi l’écriture est une image qui réfère l’objet comme les partis pris des choses de Francis Ponge. Il faut aussi que toute image est avant tout des hiéroglyphes. En effet, les hiéroglyphes s’expriment par le biais de l’image ainsi