Robert reix
Texte de Robert Reix, P 76
Un système d’information fonctionnel se compose de deux parties.
D’une part la base de données, fournissant les données découlant des transactions effectuées. Sans elle, on ne peut obtenir d’information (information = donnée + contexte), servant à établir des rapports. Pour cela, elles doivent cependant être organisées et hiérarchisées afin d’être exploitables par l’utilisateur.
D’autre part nous avons un ensemble hiérarchisé de rapports qui va utiliser les données fournies par la base de données citée plus haut. Traditionnellement, la production de rapports est automatisée. Certaines informations récurrentes sont publiées automatiquement à intervalle régulier. Par exemple, « le chiffre d’affaire généré par un produit dans une zone géographique » ou « les besoins matériels d’un service ». L’apport de ces informations est relatif selon l’utilisateur et son besoin.
Plus évoluée, une autre forme permet de ne présenter que des fortes évolutions (négatives ou positives) afin de ne s’intéresser qu’aux décisions importantes liées à ces changements.
Ces deux systèmes paraissent à dates fixes et leur contenu n’est pas personnalisable, il se compose de texte et de tableaux.
A l’opposé, d’autres systèmes proposent de fournir l’information exclusivement sur demande et non automatiquement.
Ainsi l’utilisateur peut personnaliser sa demande et obtenir une information plus précise. Tout ceci, au moment où il le souhaite ! Il n’a pas à attendre.
Ce type de système se décompose en deux sortes de réponses aux besoins de l’utilisateur. L’un proposant simplement un rapport classique qui s’apparente aux systèmes de base. L’autre propose quant à lui de pouvoir choisir précisément les données souhaitées en donnant plusieurs critères. Ce dernier est plus personnalisable et correspond mieux aux attentes de l’utilisateur.
Les améliorations de fond sont accompagnées par des améliorations de forme telles