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A travers la description réaliste de Maheu, des mineurs et de la mine, Zola a su faire preuve de réalisme pour mieux dénoncer les conditions de travail.
Nous étudierons tout d’abord le personnage de Maheu dont le travail est dominé par la souffrance puis nous montrerons que la description du travail des mineurs offre une vision réaliste et révoltante de leurs conditions de travail.
1. La souffrance de Maheu
a. L’hostilité de la mine
• Le personnage de Maheu est décrit durant tout un paragraphe et est emblématique de la dureté des conditions de travail que connaissent tous les mineurs. Tout d’abord, nous pouvons noter une indication de la température, « trente cinq degrés » qui se veut réaliste et qui d’emblée insiste sur l’hostilité du lieu.
• La difficulté du travail des mineurs est renforcée par plusieurs autres éléments. Il n’y pas d’air « l’étouffement à la longue devenait mortel » ce qui implique l’idée d’une véritable torture et renforce l’idée de souffrance.
La lampe de Maheu loin d’être un adjuvant à son travail apparaît comme un véritable opposant, un objet qui renforce l’idée de souffrance avec l’expression « cette lampe qui chauffait son crâne ». Zola emploie à la suite une métaphore hyperbolique « achevait de lui brûler le sang ». De plus, la position physique de Maheu renforce l’inconfort « il avait beau tordre le cou, renverser la nuque ». Et cette souffrance débute avec le travail « au bout d’un quart d’heure ».
b. L’omniprésence de l’eau
• Maheu affronte les éléments naturels présentés comme de véritables adversaires. L’eau est omniprésente comme le souligne l’emploi du champ lexical de l’eau « ruisselait d’eau, de grosses gouttes, trempé, humidité ».
• La construction de la phrase « La roche, au-dessus de lui, à quelques centimètres de son visage,