I. Quels risques naturels et technologiques dans le monde ?
1. Des risques naturels nombreux :

L’Asie est le premier continent, avec 40% de catastrophes naturelles (132 catastrophes), vient ensuite l’Amérique avec 22% (73 catastrophes), l’Afrique avec 18% (60 catastrophes), l’Océanie avec 5% (16 catastrophes) et enfin l’Europe avec 15% (17 catastrophes)
Il y a plusieurs vulnérabilités qui touchent les pays. Certains sont confrontés à des vulnérabilités économiques élevées comme les Etats Unis ou encore la Chine et d’autre sont confrontés à des vulnérabilités sociale de différentes échelles comme le Japon (faible vulnérabilité sociale), l’Egypte (moyenne vulnérabilité sociale), le Brésil (forte vulnérabilité sociale) et la Chine (très forte vulnérabilité sociale). Beaucoup de villes sont caractérisés de « vulnérable » par leur localisation à haut risque, une urbanisation incontrôlée, une hyperdensité, des établissements industriels dangereux... Comme par exemple Tokyo, Shanghai, Los Angeles...
Les risques naturels peuvent être accentués par d’autre, comme un séisme survenu au large des côtes du Japon, a entraîné un tsunami avec des vagues pouvant atteindre plus de 30 mètres de haut. Les risques naturels peuvent aussi être amplifiés par l’action des hommes. La tempête Xynthia frappa la France durant la nuit du 27 au 28 février, plus précisément, l’Aquitaine, la Bretagne, le Poitou Charente, la Normandie et le Pays de la Loire. Cette tempête aura occasionné d’importantes inondations dans certaines régions littorales, principalement en Charente-Maritime, en Vendée et dans les Côtes-d’Armor. 53 personnes y trouveront la mort dont 35 dans le seul département de la Vendée. Les dégâts économiques se sont élevés à plus d’1.5 milliards d’euros.
2. Des risques technologiques de plus en plus nombreux

Depuis l’accident nucléaire de Seveso en Italie, une directive européenne, nommé de ce même nom, impose aux établissements industriels dangereux, de prendre des