Risques immédiats et potentiels pour la santé globale des populations sans logement fixe
Il y a tout d’abord des risques directs à court terme.
Ces situations pénibles de recherche de logement engendrent forcément des fatigues physiques excessives, qui auront pour conséquences d’affaiblir l’organisme.
L’hébergement dans des abris de fortune ou mal chauffés, multiplie les risques de contracter des maladies virales ou épidémiologiques. Les enfants seront encore plus sensibles à ces phénomènes.
Les difficultés d’accès au logement sont toujours associées à d’autres problèmes majeurs comme la malnutrition ou l’équilibre alimentaire indispensable. Ces problèmes alimentaires peuvent avoir comme conséquence plus ou moins rapide de développer des carences qui auront nécessairement une influence sur la santé.
De plus ces populations renoncent, pour des questions de coût et de distance, à l’accès aux soins.
Elles ne peuvent pas faire face aux dépenses des frais dentaires et d’optique.
On peut également penser à des risques potentiels qui peuvent avoir des conséquences à moyen ou long terme.
Si cette situation de précarité engendre des fatigues physiques, elle peut également avoir une influence sur le moral et occasionner l’apparition d’états dépressifs, de troubles du comportement pour les personnes concernées.
Cela peut de la même manière créer des climats de tension au sein d’une famille et déboucher sur certains actes de violence.
Le bruit et la promiscuité auront également pour conséquence l’apparition des troubles du sommeil
Comme mentionné dans le texte de La Croix, l’insalubrité de certains logements peut également occasionner des problèmes de santé qui peuvent apparaitre dans le temps. Le journal cite comme