rio de janeiro
Aménager la ville
Rio de Janeiro ville géante du «Sud»
Il existe à Rio de Janeiro de très grandes inégalités sociales.
A Rio de Janeiro, il y a un très grand nombre de favelas qui désigne actuellement les bidonvilles brésiliens qui sont des quartiers pauvres. Ces favelas augmentent d'années en années. Par exemple en mille neuf cent cinquante il y avait environ plus de cent soixante dix mille habitants de favelas alors que en deux mille le nombre d'habitants de favelas est plus de un million cent mille.
Les favelas se situent à proximité immédiate du quartier riche comme par exemple la favela de Santa Maria qui existe depuis mille neuf cent soixante. La favela est un espace auto-construit avec en partie des matériaux de récupération donc on peut confirmer que les favelas sont des bidonvilles.
A proximité des favelas, il y a des quartiers très riches comme par exemple à Rocinha où l'on trouve des chimiques privées, des laboratoires d'analyse de sang, des dentistes, des médecins spécialistes, des avocats: des métiers de la haute société. On y trouve aussi huit agences immobilières dont la plus grande à environ mille cinq cent contrats à gérer qui négocient la location des logements et des locaux commerciaux. Il y a aussi une ligne de bus privée, une entreprise de taxi. Alors que les plus pauvres ont l'accès au centre difficil par rapport au coût du transport.
Il existe aussi à Rio de Janeiro des violences qui entraînent la présence policière 24/24 qui fait partie du plan d'intégration pour rendre les lieux de la mégapole plus sur pour la population et aussi le tourisme.
On peut donner comme exemple de violences : les trafiquants de drogues.
Pour conclure on peut dire que Rio de Janeiro est un mal développement urbain car un grand nombre de population qui ne cessent