Resumé
Ce n’est que pendant les années 1960 que le Brésil commença à s'intéresser à sa forêt, l’Amazonie, lors de l’arrivée au pouvoir des militaires. Leur but : rendre la région habitable, attirer les touristes. Pour cela, une zone fut construite a Manaus, qui, d’une part, la rendra touristique, et d’autre part, attirera les investissements étrangers. La nouvelle politique avait comme idée de simplement occuper l’Amazonie.
Arrivé milieu des années 70’, la première politique des militaires arrivait a son échec. C’est à ce moment que le général Ernesto Geisel imposa une nouvelle idée, plus efficace. Le Brésil allait profiter des ressources disponibles et qu’elle avait en abondance pour les exploiter. Les chiffres fiscaux grandissent, mais les bilans économiques, écologiques et sociaux ne changent guère.
En 1985, une époque dite “miraculeuse” s'achève, au moment de l’instauration de la Nouvelle République, le pays redevient démocratique.
Fin des années 1980, la foret a été détruite de plusieurs manières, et les conséquences sont importantes. En plus des 6 millions d’hectares cités qui ont été détruits pour laisser place aux routes, voix ferres et barrages hydroélectriques, des surfaces immenses ont été nécessaires pour la construction des villes, ainsi que pour l'élevage bovin. Au bout d’un moment, le Brésil passe à un stade supérieur : la production de charbon de bois. Ayant compris qu’avec le bois de la foret du charbon pouvait être créé, il y eut une production importante de ce dernier.
En tout, entre 15 et 20 millions d’hectares, soit 4 à 7% de la surface totale de la foret aurait été détruite, bien qu’elle prenne un siècle pour se reconstruire.
Pour conclure, au cours du