SARAH BERTHIAUME
Philosophie et rationalité
340-101-MQ
GR: 00009

RÉSUMÉ DE LECTURE
LECTURE 2

Travail présenté à
Monsieur Jean-Sylvain Tremblay

Sciences de la nature, profil Sciences de la vie et de la santé
Collège François-Xavier Garneau
Vendredi, le 28 août 2015

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Résumé de lecture
Résumer le texte
Texte 1 : Le discours mythico-religieux — La théogonie d’Hésiode
Ce texte issu de la mythologie grecque tire les grandes lignes quant à l’union que formaient
Rhéià et Cronos, deux divinités grecques. On apprend dès lors que leur relation était bouleversée par le comportement du père. En fait, on nous informe que le père avait pour habitude de dévorer les enfants que sa femme Rhéià mettait au monde. L’homme justifiait ce douteux choix en incarnant des notions de protection. Effectivement, il avait peur de trouver la mort s’il laissait ses enfants grandir puisque son instinct lui disait que ce serait l’un de ses propres fils qui en viendrait à bout. Ainsi, aussitôt que sa femme donnait naissance, Cronos s’empressait de les déguster. Évidemment, ce drôle de comportement avait de quoi affecter sa femme, qui était très peinée de perdre ainsi tous ses descendants. Alors un jour, elle planifia une ruse. Elle demanda à ses ascendants de l’amener accoucher à l’abri. Et c’est ainsi qu’elle put donner naissance sans que le nouveau-né fût croqué. C’était l’avènement de Zeus, celui qui, un jour, contrôlerait la foudre, les éclairs et le tonnerre. Mais le père savait que sa femme portait un bébé, il s’attendait donc à avoir une proie à savourer. Alors pour le berner, Rhéià enroula une roche dans une couverture puis elle la présenta au grand Cronos qui l’avala. Au fil des ans, Zeus grandit dans l’anonymat. De fait, il devint bien plus fort que son père qui à l’opposé, s’affaiblissait à vue d’œil. Sa faiblesse l’amena même à régurgiter la roche ainsi que tous les êtres qu’il avait mangés.
C’était la fin de son règne aux dépens de son fils. À l’inverse de son paternel, Zeus