UNIVERSITÉ DE MONTRÉAL

Relevé de lecture

PAR

FACULTÉ DE L’ÉDUCATION PERMANENTE
CERTIFICAT EN SANTÉ MENTALE :
FONDEMENTS ET PRATIQUES D’INTERVENTION

TRAVAIL PRÉSENTÉ À :
KAREN HETHERINGTON
DANS LE CADRE DU COURS : SVS 2901
SANTÉ MENTALE : ASPECTS SOCIOPOLITIQUES

30 JANVIER 2013
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Résumé écrit du chapitre 9 Dans le cadre du cours SVS2901 : Santé mentale : Aspects sociopolitiques, il nous est demandé de faire la lecture d’un des chapitres du livre L’imposture de la maladie mentale et de rédiger un rapport de lecture du chapitre à l’étude. Le chapitre qui fera l’objet de ce travail est le chapitre 9 : Les thérapies biologiques.

C’est avec un discours provocateur mais réaliste que l’auteur pose un regard critique sur les traitements utilisés pour les problèmes de santé mentale. Un questionnement qui ne peut laisser place à l’indifférence du lecteur.

Ce chapitre critique le bien fondé des traitements biologiques utilisés pour traiter les problèmes de santé mentale notamment la schizophrénie et la dépression. Dans un premier dessein elle dénonce le manque de congruence entre les critères de diagnostiques psychiatriques, stipulant que pour qu’il y ait trouble, les symptômes ne doivent pas mieux s’expliquer par une affection d’ordre physique. C’est pour cette raison que, selon l’auteur, aucune pathologie d’ordre neurologique ne serait à soigner.

Monsieur Bachand, décrit l’objectif des traitements psychiatriques qui seraient de « corriger des anomalies du cerveau ». Dans un premier temps, il nous informe que tout reste à prouver en ce sens puis, dans un second temps, il dénonce que les traitements utilisés procèdent à des dommages parfois irréversibles dus aux traitements subis. En effet, ce sont ces résultats qui nous permettent de dire que le traitement fait progresser la personne dans sa maladie. Ces mêmes résultats qui servent parfois à diagnostiquer un trouble cervical grave.