Relativisme
1.2 Nous en sommes venu à la conclusion que sa thèse ne tient pas debout. Cependant,ces deux arguments possèdent des failles. Premièrement, ils sont principalement basés sur un sophisme : l’appel à la société. Deuxièmement, le deuxième argument du texte est totalement invalidepuisqu’il est possible de définir des normes universelles.
Développement :
2.1.1
Le premier ensemble de prémisses oppose le relativisme à l’objectivisme. En effet, l’auteur du texte explique qu’il n’y a pas de critère qui détermine si quelque chose est bon ou mauvais, comme se défini l’objectivisme. Selon lui, les codes moraux d’une société dépendent des coutumes, de l’époque et de l’endroit où se trouve celle-ci. Son argument est appuyé par le fait que si >, cela signifie que la majorité de la société est en accord avec X. Il n’y a pas de doute que si une règle est supportée par une majorité, cette règle est nécessairement valide. Donc, si cette règle est considérée bonne, son contraire est forcément faux. Bref, c’est ce que défend le relativisme. Toutefois, l’auteur a donné un argument qui ne peut être valable si on se fie aux normes du sophisme. Selon les propos de l’auteur, Hitler a peut-être mal agis aux yeux du monde entier, mais pas aux yeux de sa société. Son argument est suffisant, mais il est loin d’être acceptable. Nous savons tous qu’Hitler est perçu comme un monstre autant par le monde entier que par sa propre société, ce qui détruit le premier argument de l’auteur.