Redaction lettre de pietro missirilli a vaninna
Italie, 23 septembre 1829
Pietro Missirilli cellule de la prison de Rome
Chère Vanina. je vous écris cette dernière lettre de ma cellule pour que vous sachiez mes sentiments envers vous et que avant mon départ tout sois expliquer et remis aux claire dans nos têtes
je vous est fais confiance j'ai cru pouvoir compter sur vous et vous m'avez trahis moi et tout mes camarades alors que vous connaissiez mon dévouement à ce combat. Votre jalousie et votre égoïsme nous aura coûter la vie. Demain je mourrais avec mes camarades et puis cette haine si forte, si grande que j'ai pour vous, elle mourra aussi. Je ne vous pensais guère comme cela, je croyais que vous aviez compris se que je faisait et que vous l'approuviez. Si vous me l'auriez dit, si seulement vous m'auriez parlés de vos problème à accepter cette contrainte, j'aurais peut-être pus changer ou arranger la situation. Comment avez-vous pus me trahir et envoyer mes camarades en prison?
Malgré toute cette haine j'ai garder mes premiers sentiments pour vous, oui je ne pourrai jamais oublier tout ces moment passer, à attendre à regarder le paysage le soleil se coucher sur les collines devant le château… Je me rappelle tous ces petits instant passer avec vous. Quel plaisir! Tout cela me sera impossible à oublier cette passions forte pour vous comme jamais je ne l'avait ressenti auparavant. je ne voudrais pas mourir le coeur remplis de haine mais aussi d'amour et de fierté.
Demain je mourrais fiers d'avoir tenu mes idées jusqu'au bout. Je te quitterai demain à l'âge de 26 ans, je quitterais se monde, terrible, cruel. Alors je vous fais mes adieux à vous ainsi qu'à votre famille. J'espère pour vous le plus grands bonheur avec votre mari.
Je vous aime
Pietro