Red bull
Par opposition, l’approche humaniste suppose que l’être humain est capable d’exercer son libre arbitre dans ses choix et ses comportements. Selon cette approche, c’est notre vision du monde et notre manière de l’interpréter qui oriente nos comportements. Toutefois, cette théorie n’est nullement fondée, car ses hypothèses sont non vérifiables par des méthodes scientifiques. En outre, par opposition, plusieurs théories révèlent que la volonté humaine ne peut se déterminer librement. Tout d’abord, selon l’approche behaviorale, les comportements humains objectifs et observables sont déterminés par l’apprentissage et sont de ce fait issus et obtenus par conditionnement de la personnalité à des stimulis. Ainsi la théorie béhaviorale sous-entend que nous sommes point arbitraire au point de vue de nos choix et de nos actions. Néanmoins, on reproche à la théorie béhaviorale de se limiter aux comportements observables et de sous-estimer les facteurs biologiques, physiologiques et cognitifs. D’autre part, l’approche psychanalytique montre que la partie consciente de notre personnalité n’est qu’une infime partie de notre esprit. Selon elle, l’inconscient échapperait à nos activités conscientes, mais exercerait une profonde influence sur notre comportement et ce malgré nous, car « La nécessité dans son opposition à la liberté n’est rien d’autre que l’inconscient, car ce qui est inconscient en moi est involontaire, alors que ce qui est en moi avec conscience y est par mon vouloir » De plus, l’approche psychanalytique identifie trois structures distinctes dans la personnalité le ça, le « moi » et le surmoi. En conséquence, le « moi » ne peux se déterminer librement, car il s’efforce de répondre aux demandes du ça et du surmoi et lorsque que leurs demandes sont contradictoires, il doit recourir à des mécanismes de défense comme le refoulement dans l’inconscient pour réduire