Rapport
Le texte qu’on a reçu de la part du philosophe D.Bougnoux est un bilan de ce qu’il allait présenter et exposer pendant sa conférence. En lisant le texte et en assistant à la conférence, il était évident que Bougnoux a donné de l’importance à quelques points en négligeant d’autres.
Le philosophe émérite a exprimé sa joie de donner la conférence, puis il a avancé une introduction au sujet de la communication par une réflexion théorique générale. Par la suite, on remarque que Mr Daniel ne s’est pas soumis au texte écrit du fait qu’il a presque négligé les deux premiers paragraphes pour attaquer directement le 3ème où il aborde le sujet de « monde propre » où « chacun élabore ses signaux de communication proprement à lui » et de la relation « Sujet-Objet » et « Sujet-Sujet ».
En avançant dans la conférence, le penseur n’a pas retenu l’ordre par lequel les faits et les points ont été évoqués dans le texte écrits, il improvisait s’il le jugeait nécessaire, avançait et reculait à maintes reprises.
Il a consacré un bon bout de temps à parler de l’expérience de la France avec Charles De Gaule, et a cité ses mots d’ordre « Algérie Française », et a développé encore plus que ce ne l’a était sur le texte écrit en s’approfondissant dans l’histoire et en citant un peu plus d’exemples là-dessus.
Les interventions du public ainsi que ses questions, ont permis d’élargir l’angle d’attaque du sujet, et d’introduire d’autres axes, et parler d’autres points, ce qui a permis d’enrichir le débat et l’élargissement des concepts.
Et pour arguer, il est clair que Mr. Bougnoux ne s’est pas référé à 100% au texte, avec tous ses exemples et points cités, il en a négligés quelques-uns et ajouté d’autres, mais le plus important c’est le gestuel, les expressions faciales, le ton par lequel il parle, tous ces éléments aident à comprendre davantage le sens de ce qu’il avance.