rapport d étonnement s1
En premier lieu chez les personnes atteintes d’Alzheimer. Prenons l’exemple de Madame N, cette patiente est atteinte d’une fracture du col du fémur, elle doit donc rester allongé du a sa traction. Lorsqu’on lui annonce qu’on vient pour la préparé pour la toilette, elle commence à être anxieuse, en effet il s’agit d’une personne qui nous explique à chaque fois qu’elle ne souhaite pas qu’on la voit nu. C’est pour cela qu’à chaque début de toilette on lui explique qu’elle va se laver le maximum et qu’on l’aidera si besoin. Elle nous dit qu’elle n’aura pas besoin d’aide. On décide de la laisser et de lui apporte l’eau et ses affaires de toilette. Lorsqu’on revient quand elle nous appel, elle nous dit qu’on peut lui laver ses jambes mais qu’on peut également lui faire sa toilette intime. Donc malgré la maladie je constate que lorsqu’on favorise l’autonomie de la personne celle-ci se retrouve en confiance.
Ensuite chez une personne ayant eu un cancer de la cavité buccale, une œsophagite et des troubles cognitifs, la communication verbale est impossible. Depuis une grippe il y a 1 an cette personne ne marche pu également elle reste recroqueviller sur elle. Monsieur D. est entré pour une luxation de la hanche. Pour communiquer avec il a une ardoise où il écrit dessus mais il est parfois très difficile de le relire. Lorsqu’on souhaite faire sa