1. OBSERVATIONS
1.1. Lors de la sortie au site d’échantillonnage de la rivière du Nord, j’ai observé qu’il y avait sur les rives, presqu’autant de conifères que de feuillus. Le site où nous étions était en effet en forêt. La végétation était en bonne santé, en bon état. J’ai remarqué que le fond de la rivière était rocheux. Il était constitué de galets. J’ai aussi remarqué que l’eau semblait claire. Elle était donc fort probablement de bonne qualité. De plus, le débit de l’eau était assez élevé. On parle de 12 m3/sec. La profondeur de la rivière à notre site de prélèvement était de 50 centimètres et j’ai remarqué qu’il n’y avait pas de végétation aquatique.

1.2. Mes 4 questions par rapport aux observations et la qualité de l’eau sont :
Qu’est-ce qui définit le type de végétation autour d’un cours d’eau?
À quel moment de l’année est-ce que la végétation et le milieu entourant un cours d’eau a un plus grand effet sur la qualité de son eau?
Pourquoi est-ce que la végétation sur les rives d’un cours d’eau a-t-elle une influence sur la qualité des cours d’eau?
Où exactement se trouvent les particules ou organismes qui aident à améliorer la qualité de l’eau d’un cours d’eau?

2. LITTÉRATURE
2.1. Nous avons utilisé les macroinvertébrés benthiques comme indicateur de qualité d’eau de la rivière du Nord, car tous les MIB ont une tolérance différente à la pollution de l’eau. S’il y a beaucoup de spécimens qui tolèrent peu la pollution, c’est un signe que le cours d’eau n’est presque pas pollué. De plus, grâce aux spécimens relevés, on peut déterminer les indices de biodiversité, ce qui peut aussi nous donner une idée de la qualité de l’eau.

2.2. Malgré un fort courant, les MIB se sont adaptés afin d’être capable de s’accrocher au fond de l’eau. Certains s’y accrochent grâce à des crochets ou à des ventouses, alors qu’il y en a d’autres qui sont très plats et qui ne se font pas emporter par le courant, puisqu’ils sont hydrodynamiques. Il y a aussi des macroinvertébrés