Rapport sgmb
En principe, les instances réglementaires internationales des onze grands Pays industrialisés (Allemagne, Belgique, Etats-Unis, France, Grande-Bretagne, Italie, Japon, Pays-Bas, Suède, Suisse) ont édicté des règles prudentielles pour limiter les risques de faillite des banques commerciales à travers les premiers accords de Bâle (dit Bale I) et la mise en place du ratio Cooke.
Depuis 2007, les accords de Bâle ont été modifiés. Bâle II a été mis en place non seulement pour améliorer la stabilité, la transparence du système bancaire international et promouvoir les conditions d’égalité de concurrence entre les établissements à vocation internationale mais aussi pour palier aux lacunes du ratio Cooke.
Les accords Bâle II constituent un dispositif prudentiel destiné à mesurer de façon plus fine les risques de crédit et de contrepartie, les risques de marché et les risques opérationnels. La quantification de ces risques interviennent désormais dans le calcul du besoin en fonds propres des établissements financiers (pondération positive ou négative en fonction de la qualité des emprunteurs ou des contreparties).Le ratio Mc Donough remplace désormais le ratio Cooke.
L’Objectif de Bâle II est : « d’aligner les exigences réglementaires en matière de niveau des fonds propres avec les risques sous-jacents, et de fournir aux banques et leurs autorités de supervision plusieurs alternatives pour l’évaluation de l’adéquation des fonds propres » (W .J.McDonough)
Section 1 : la définition de la gestion prévisionnelle d’emploi et de compétence La gestion prévisionnelle de l’emploie et de compétence (GPEC) a notamment pour mission de gérer les postes clés de l’entreprise de manière dynamique. Les principaux spécialistes, cadres et dirigeants rencontrent leurs supérieurs hiérarchiques et la DRH une fois par an. Ils évaluent ensemble leur activité et leurs évolutions possibles au sein de l’entreprise. GPEC arrive parfois à ménager des solutions