Rapport de stage
Mardi 12 mai
Aujourd’hui, mardi 12 mai, je me suis mise au travail comme vous toutes, compagnes de formation pour dresser un bilan de ces deux années passées ensemble.
La médiation, qu’en dire ? je prends mon classeur (lourd) après avoir tergiversé une partie de la journée trouvant des tâches bien plus urgentes qui requièrent mon attention . mais en ce début d’après-midi, plus question de se dérober, c’est décidé, je m’y mets.
Après deux heures de travail assidu, je suis noyée : j’ai repris mes notes, les polycops et je n’en ai épluché qu’une partie : à côté de moi sur une feuille j’écris ce qui me semble pertinent, ce qui me pose question, les certitudes acquises, bref tout ce qui fait sens pour moi ; déjà la liste s’allonge…entre les questions qui mériteraient approfondissement, les apports directement applicables au quotidien dans notre pratique.
Comment faire, comment vous restituer ce travail ? et bien, nous verrons bien où cela nous mènera, si j’arrive au terme de cette relecture de 2 années de formation soit +-150 heures effectives. La tâche m’effraie. A tout –à-l’heure ou plutôt à dans longtemps pour voir ce qu’il en sortira.
J’espère qu’il me sera pardonné d’avoir pris des libertés avec la consigne sur le travail attendu en m’attardant sur le préambule et en ébauchant des points qui mériteraient un travail de réflexion approfondi et des éclairages supplémentaires.
Mardi 23 juin
Me voici au terme de cette relecture : prés d’une dizaine d’heures passées à relire notes et documents fournis, à cliquer sur quelques sites dans l’espoir que la lumière jaillisse.
Le plan, au diable ! un cas concret, je n’en ai pas - voir plus loin mes réflexions à ce sujet- . Aussi je prends le parti pris de lister, oui de lister au risque d’être poncive ce qui me semble le plus essentiel dans cette formation, ce qui fait sens pour moi (pour rester dans le jargon cher aux travailleurs