Rapport au mot 15/20
Voila le problème posé par Diderot dans ce texte. Sa thèse est que le rapport au mot varie celons que l’on soit enfant, adulte ou philosophe. Ainsi pour l’enfant, les sons qu’il entende souvent dans des circonstances a peut près semblables lui permette qu’il s’établit dans son esprit une représentation de mot qui peut varier l’lorsque une autre habitude se crée ultérieurement avec ce même mot. Puis pour l’adulte le mot n’est qu’un instrument pour communiqué, il ne fait que l’utilisé pour exprimé ces différentes pensées. Et enfin pour le philosophe, le mot est une recherche c'est-à-dire que lui adulte et philosophe va essayés de reproduire la démarche de l’enfant dit avis des mots afin de retrouvé l’idée. Il ne sans sert pas comme la plupart des hommes, non lui apprécie le mot.
Le mot pour l’enfant est tout d’abord un signe qui lui permet de distinguer des choses, des concepts et de communiquer. Il n’est qu’un son pour lui, une sensation auditive comme un bruit qu’il retient dans certain contexte mais qui pour lui a peut de signification. L’enfant commence a parlé lorsque débute la pensé dans son esprit, c’est alors qu’il s’exprime pour survire c'est-à-dire qu’il exprime ces besoins par la communication pour pouvoir accédé a ces désire. Il vient a comprend le mot grâce a des images et des idées, en effet il se le représente visuellement par une association d’image mentale d’un être, d’une chose ou d’un concept ce mot mais aussi par des idées abstraite qu’il se crée pour pouvoir le mémorisé. Cette compréhension visuelle s’accompagne d’autres sens comme celui de la compréhension tactiles ou la compréhension auditive. Quant à la mémoire qui a du mot elle se fait garce aux différents contextes et situation qu’il rencontre, ainsi il conserve son sens, sa signification. Quand cette signification est bien fixée dans son entendement c’est qu’il a compris son sens et peut le relier à d’autre mot.