Questionnaire
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Comment est né le cloud computing ?
L’idée est venue d’Amazon.com. La majeure partie de ses serveur[1] ne fonctionnaient que lors du pic d’activité de Noël. Le groupe les a donc loués à des clients qui ont ainsi externalisé leurs données sur des serveurs distants sans souci de maintenance : le cloud computing (CC) est né. Les géants de l’informatique ont rapidement suivi, d’IBM à Google en passant par HP.
Quelles sont ses utilisations concrètes ?
L’espace de stockage en ligne offert par le CC est plus large que celui qu’un particulier ou qu’une PME ne peut s’offrir. Guillaume Plouin, spécialiste du CC : « Les donnés sont protégées : pas de risques de vol. L’utilisation est simple : pas de mises à jour. Une plus grande mobilité : des données accessibles de n’importe quel poste connecté à Internet. » Ainsi, tout particulier fait déjà du CC sans le savoir, en utilisant son mail ou Facebook : les données (courriers, photos…) sont stockées sur des serveurs distants sans limite d’espace et avec un accès facile. Les offres de services sont infinies, explique Guillaume Plouin : « Mes photos sont sur Flickr, je rédige mes courriers dans Google Apps, je loue un coffre-fort virtuel pour archiver mes fiches de paie. Je n’ai plus de PC mais un iPad qui me sert d’interface. » Les entreprises peuvent par exemple louer des logiciels pour organiser le suivi des prospects, disposer de logiciels de paie, etc.
Quelles économies pour l’utilisateur ?
Pour le particulier, beaucoup de services sont gratuits. Par exemple, Google documents, un des outils proposés dans Google Apps, offre un traitement de texte gratuit, d’un niveau comparable à Word. Adobe a fait de même avec Photoshop. « Microsoft, comme souvent, est suiveur. Qui dépensera bientôt 139 euros pour un Pack Office basique ? », Présage Guillaume Plouin. Pour les entreprises, le CC permet