Questionnaire madame bovary gustave flaubert
1. Quand Madame Bovary parut, le livre eut beaucoup de succès auprès du public, mais reçut aussi des critiques sévères. Parmi les suivantes, une seule apparaît comme totalement injustifiée. a. "Un reproche que je fais à son livre, c'est que le bien est trop absent, pas un personnage ne le représente." b. "Le livre, certes, a une moralité: l'auteur ne l'a pas cherchée, mais il ne tient qu'au lecteur de la tirer, et même terrible." c. "Que de péripéties extravagantes ce livre n'est-il pas rempli! Nous sommes à l'opposé du vrai réalisme." d. "Style descriptif trop minutieux, attitude trop dure et trop impersonnelle de l'artiste!"
2. Toutes les désillusions sentimentales que connaît madame Bovary remontent finalement à une même cause première: a. La vie dans un "trou" à la campagne, ce qui la déprime continuellement. b. L'absence d'une mère morte trop jeune. c. Une éducation inadaptée, au couvent des Ursulines de Rouen. d. Une condition sociale ne correspondant pas à ses désirs.
3. "Il ne distinguait pas, cet homme si plein de pratique, la dissemblance des sentiments dans la parité de l'expression." De qui parle-t-on? a. Rodolphe b. Léon c. Binet d. Homais e. Lheureux
4. De ces affirmations, une seule est fausse: a. Emma vit de sentiments faux parce qu'elle est plongée dans l'illusion de ses lectures, de ses rêveries et elle ne s'en rend jamais compte. b. Emma n'accorde de réalité qu'aux êtres de ses fictions, plus beaux, plus grands que nature, et son mari n'existe plus pour elle dès qu'il lui paraît contraire à ses modèles. c. Il y a dans le caractère d'Emma tout un côté passif qui l'empêche de lutter pour conquérir son bonheur qu'elle s'imagine toujours dépendre de circonstances extérieures à elle.
5. De qui parle-t-on? "Il ne discutait pas ses idées; il acceptait tous ses goûts; il devenait sa maîtresse