Quelles sont les forces et difficultés du commerce exterieur français?
Les forces du commerce extérieur français sont, dans un premier temps, le fait que sa situation géographique dans l’espace européen lui soit favorable. En effet, le taux d’ouverture de la France en 2009 s’élève à 24%, soit ¼ du PIB destiné aux échanges extérieurs, ce qui montre que la France travaille beaucoup avec les pays étrangers. Elle est considérée, avec 24%, d’économie participant activement aux échanges extérieurs. D’autre part, les environnements économiques, fiscales et financiers sont favorables à l’échange. Ainsi, la France et la plupart de ses pays environnant on la même monnaie, ce qui facilite les échanges, et cela évite les devises. De plus, les partenaires de la France sont économiquement proches, c’est-à-dire qu’ils ont les mêmes modes de vie, les même niveaux de vie. Il y a peu de frais de douanes et de frais de transports, cela incite davantage le commerce intra branche. Enfin, la France est spécialisée dans plusieurs domaines, tels que dans l’agriculture, avec 1,6 milliards d’euros de différence entre les importations et les exportations de la France, les biens d’équipements. Dans l’agro-alimentaire, 4,2 milliards d’euros d’exportations de plus que d’importations, puis 6,4 milliards d’euros de plus dans les biens d’équipements et 0,2 milliards d’euros de plus pour le commerce. Enfin, 5,8 milliards d’euros de plus dans les