Les reproches faits à notre génération sont globalement l’excès de fainéantise, l’absence de motivation par rapport au travail et à l’avenir et le désintéressement de la politique.

Ces reproches sont plus ou moins justifiés car, effectivement, notre génération est connue comme « génération internet », nous sommes nés avec et nous ne pouvons plus nous en passé.
Cette dépendance en découle d’une faible motivation à effectué des tâches, et pour cause, tout (ou presque) peut être informatisé. Ce qui nous amène à rester devant un écran, et à faire ce qui nous est demandé sans bouger de notre chaise.

D’un autre point de vue, nous pouvons distinguer 2 catégories de « génération internet », ceux qui ne font que ça et ne pense pas au reste, et ceux qui l’utilise à bon escient.
Un jeune devant un écran n’est pas forcément dénoué de motivation, il peut être entrain de rechercher des informations sur internet, s’auto-former ou rédiger un mail à sa hiérarchie.
Ce qui dérange n’est donc pas le manque de motivation, mais surtout le fait que lorsque les autres voient le jeune devant un écran, ils considèrent qu’il ne travaille pas, seulement, aucune des personnes qui accusent le jeune ne lui ont demandé ce qu’il faisait, ils ont seulement « pensé ».
A contrario, certains jeunes sont effectivement entrain de ne rien faire et de passer leurs temps sur « facebook », « tweeter » et autres. Ce sont eux qu’il faut dénoncer.

L’absence d’intérêt politique s’explique du fait qu’aucun candidat n’a de programme électoral attirant. Pour prendre un exemple, notre président actuel, Nicolas Sarkozy, avait promis plus de policier et un « nettoyage des quartiers au karcher ». La seule chose qu’il a fait à ce propos c’est de supprimer l’emploi de 20 000 policiers, et la question de l’insécurité existe toujours.
Notre pays est dirigé par des hommes qui ont minimum 50 ans, c’est bien trop vieux !
Si les jeunes participants pourraient seulement s’exprimer et se montrer à la télévision,