Quasimodo
Le nom de Quasimodo, « à peu près » implique une créature monstrueuse.
Il prend la forme de la Cathédrale. Il est devenu le contenu naturel de l’édifice, comme les espaces gothiques de l’édifice.
Il entretien avec la Cathédrale une intime cohabitation. La cathédrale pour lui n’a pas de profondeur.
2. Relevez les phrases où Victor Hugo s’adresse personnellement au lecteur.
Ligne 2 : Avec le temps, il s’était formé, je ne sais quel lien intime qui unissait le sonneur à l’église.
Lignes 30-33 : Il est inutile d’avertir le lecteur de ne pas prendre au pied de la lettre des figures que nous sommes obligés d’employer ici pour exprimer cet accouplement singulier...etc..
Lignes 33-35 : Il esr inutile de dire également à quel point il s’était faite familier toute la cathédrale dans une si longue et si intime cohabitation.
Hugo s’adresse personnellement au lecteur « Je », « nous» + présent :
Je, nous implique toujours un « tu » ou « vous ».
La création d’un rapprochement entre le lecteur et le narrateur.
Un présent qui inclut le moment de l’écriture.
La réflexion sur l’usage des mots.
3. Dressez une liste des comparaisons utilisées par Hugo pour faire le portrait de Quasimodo.
Le colimaçon, la tortue à son écaille, la rugueuse cathédrale = sa carapace.
Membrure bestiale, le reptile naturel de cette dalle humide et sombre.
Ramper comme un lézard.
Les figures de la ressemblance : la comparaison et la métaphore
La comparaison : elle joint un comparé à son comparant en exprimant le point de comparaison qui les relie, ce dernier étant introduit par un terme de comparaison.
La métaphore : elle rapproche également deux réalités, mais en les évoquant plus qu’en les nommant puisque, le plus souvent, seul le comparant est exprimé.
La comparaison et la métaphore rapprochent deux champs lexicaux en mettant en évidence un élément qui leur est commun.
Lignes 13-14 : (...) il