Punition: faire le blame du bavardage
Le bavardage, depuis des dizaines de générations est une maladie qui hante les esprits futiles comme le mien. Elle se soigne par la réflexion.
Les bavards n’écoutent pas beaucoup mais ils parlent énormément et parfois même de manière indiscrète.
C’est une forme de surdité volontaire qui a pour effet diverses conséquences.
Ainsi en bavardant, l’élève est passif et certaines remarques ne sont pas prises en compte. Cela peut l’influencer à faire des fautes d’étourderies comme confondre des mots de prononciations voisines mais de sens différents en anglais par exemple.
Bon nombre de fautes auraient pu être évitées si l’attention du causeur s’était plutôt portée sur le professeur que sur son camarade de classe.
De plus, en manquant d’attention, le bavard se puni lui-même en amplifiant la dose de travail qu’il a à réaliser chez lui. En effet, un travail de compréhension qui aurait pu être accompli en classe est à recommencer après chaque leçon !
Pour l’élève, le bavardage en classe se traduit par un repos du cerveau, mais chez lui, ce dernier regrette d’avoir jacasser puisque le bavardage se transforme en un travail supplémentaire.
En raison d’un manque d’application, le bavard fait moins de progrès que ses camarades, étant donné qu’il évite un effort de réflexion qui peut l’amener à raisonné plus vite lors d’un examen ou autre part.
Le bavardage ne provoque pas seulement des conséquences sur le travail des élèves impliqués mais il en cause aussi sur le travail des autres élèves !
Toutefois, dans la mesure où le bavardage reste discret, il n’a des répercussions que sur le travail des élèves concernés.
En revanche, lorsqu’il est remarqué, il est très gênant. Si bien qu’il va avant tout déranger la compréhension des élèves en difficulté qui vont ensuite maudire le moulin à paroles et son complice lorsque le professeur va s’interrompre pour les faire taire.
De la même manière, le bavard, en coupant son enseignant va ralentir l’avancement du