préjugé philo
Un préjugé, comme le mot l’indique, est un jugement porté d’avance. C’est une précipitation de l’esprit dans le fait de trouver une réponse à un comportement ou à une attitude avant d’en avoir des preuves, des faits objectifs qui nous le précise. Le préjugé peut provenir de la généralisation d’un comportement, d’un fait, d’un dire, à une catégorie de personnes, il s’agit de stéréotypes. Or, c’est les actes réfléchit par une personne seule qui définiront si oui ou non elle appartient à un groupe d’individus, et non le jugement des autres qui peuvent la classé de manière direct dans une catégorie de part des aprioris. Par exemple, un stéréotype dit que les britanniques ne maitrisent rien à la gastronomie. Or il n’appartient qu’à une personne britannique de montrer de par ses compétences et son savoir si oui ou non elle maitrise la gastronomie. Ensuite, les préjugés peuvent être influencés par l’appartenance à une catégorie de personnes. Une personne a tendance à valoriser le groupe auquel elle appartient et par conséquent à dévaloriser ou à porter un jugement sur un groupe auquel elle n’appartient pas. N’ayant pas de fondements objectifs permettant de porter un jugement, on peut donc penser que les préjugés sont signe d’une passivité intellectuelle. En effet l’intelligence se base sur la capacité d’un individu à comprendre, à connaître, à s’adapter ; c’est une palette d’aptitudes mentales où interfèrent la logique, la mémoire, la connaissance… Or le fait de porter un jugement avec une garantie objective très faible voir nul, sans s’appuyer sur ses connaissances, son savoir, et sans aucune adaptation ou compréhension ; et préférant suivre des idées préconçues, déjà établi, et souvent incompatible ou contredit par les faits, nous prouvent une passivité intellectuelle.
-Pourquoi la superstition est-elle le plus grand des préjugés selon Kant ?
La superstition est