Progeria
a) Avancement des recherches et traitement
La découverte du gène responsable de la Progéria : le gène Lamine A sur le chromosome 1, en 2003 par l’équipe de Nicolas Lévy, a amené l’accélération des recherches pour cette maladie.
En effet le scientifique Lopez-Otin et son équipe, cinq ans plus tard, ont développé chez la souris un traitement pour cette pathologie permettant d’augmenter jusqu'à 80% leur espérance de vie. Ce remède est une stratégie pharmacologique basée sur une combinaison de médicaments déjà utilisés en clinique pour le traitement des cancers et des processus maladies cardio-vasculaires. Il constitue principalement la combinaison de deux molécules qui arrivent à prévenir la fixation de l’acide gras à la progèrine, responsable de la Progéria, et réduit donc sa toxicité. Ces molécules sont les statines, utilisées pour contrôler le taux de cholestérol, et les aminobisphosphonates, médicaments pour le traitement de l’ostéoporose. Les chercheurs ont découvert que ce traitement diminuait les effets de la maladie et augmentait significativement l’espérance de vie.
Mais les médicaments ne sont pas les seules solutions, la vie sociale joue aussi un rôle important dans le bien-être d’un enfant atteint car il est important pour toutes personnes malades d’avoir de bons liens avec les autres pour se sentir à l’aise. De plus les activités sportives sont pareillement recommander puisqu’elles aident au bon fonctionnement de l’organisme.
b) Témoignage exceptionnel
La famille Vanderweert est une famille beige de 4 personnes : la mère Godelieve, le père Wim et les deux enfants Michiel et Amber. Cette famille a fortement attiré notre attention car les enfants de celle-ci sont tout deux atteint de Progéria. Cela est fort impressionnant car avant la naissance d’Amber, la seconde, aucune autre mère auparavant n’avait donné naissance à deux enfants atteints de cette affection.
Effectivement Godelieve donne naissance,