Princesse de clèves
Les émotions Les passions racontées par Lafayette démontrent que lorsqu’elles existent dans une personne elles vont déclencher un torrent d’émotions dans elle, qu’elle ne serait pas capable de les contrôler ; mais ce ne sont pas que des bonnes émotions, la victime de cette passion sentira tout. Un champ lexical des émotions (2, 8, 9, 13, 14, 17, 21, 23,24) démontre la quantité des sentiments que les personnages ressentent – (colère, sentiments, maux, si touchée, bonheur, tort, violente passion, triste, satisfaite).L’hyperbole est clé pour une illustration des effets d’une passion sur l’être humain et le narrateur dessine une de ces effets: « Ces tristes réflexions étaient suivies d’un torrent de larmes »(l. 23). Cela décrit dramatiquement la tristesse qu’on peut sentir pour notre passion, un malheur que fait pleurer à la princesse un fleuve de larmes marque à la fin de l’extrait la souffrance comme résultat d’avoir une passion si violente.
La passion assombrit la raison Lafayette utilise une partie de l’extrait pour illustrer la guerre qui a entre la passion et notre rationalité, la princesse est troublée, elle questionne la situation: « Comment excuser une si grande imprudence, et qu’était devenue l’extrême discrétion de ce prince dont elle avait été si touchée » (lignes 12-13), une phrase interrogative illustre la confusion que cette princesse ressent; aussi un monologue interne de la part de Mme de Clèves remplit avec des figures de style comme l’antithèse- « il a cru être malheureux ; mais une pensée d’un bonheur… » (Ligne 14), fait un dessin de la confusion vivant dans le personnage, l’utilisation de point-virgule accentue l’effet de réflexion, une réassurance des souvenirs et un appel à la mémoire- « je n’ai pas avoué que c’était lui que j’aimais » (Ligne 16), Mme de Clèves cherche réassurer ses décisions en cherchant une cause au problèmes souffre. Dans ce monologue interne la princesse montre peur des