La Princesse de Clèves
La Princesse de Clèves (1678) de Madame de la Fayette auteur du 17ème siècle, cultivée, appartenant à la noblesse expose le personnage de Mme de Clèves jeune femme de seize ans au XVIème siècle à la cour d'Henri II. La demoiselle cache son amour pour M. de Nemours et prend connaissance des aveux de sa mère sur son lit de mort qui lui fait part de sa découverte de son amour et lui fait donc ses dernières recommandations. Nous allons étudier ce passage d’adieu de la mère de Mme de Clèves qui est crucial pour la jeune femme tout d’abord à travers les adieux d’une mère à sa fille. Puis dans un discours très autoritaire et enfin verrons en quoi les passions sont condamnés.
Dans une mise en garde contre la passion issue de La Princesse De Clèves, nous pouvons assister aux adieux de la mère à sa fille. En effet celle-ci est souffrante et se veut dire au revoir à son enfant : « Il faut nous quitter ma fille, lui dit-elle, en lui tendant la main » En lui tendant la main, Mme de Chartres créer une sorte de contact avec sa fille, qui montre qu’elles sont liées et qu’elles vivent un moment fort. Le lecteur sent que la mort est proche et que le lien entre la mère et la fille devient de plus en plus fort lors de ces derniers moments passés ensemble. De plus, avec « il faut nous quitter » Mme de Chartre utilise un présent d’énonciation pour insister que son départ doit être momentané, ce qui créer un contraste avec le fait qu’elle lui tend la main pour la garder au près d’elle. La mère ne veut que sa fille ne la voie mourir et préfère qu’elle parte pour être seule. La mère est donc partagée entre le fait qu’elle veuille rester auprès de sa fille et le vouloir qu’elle a de la faire partir. « Mme de Clèves fondait en larmes sur la main de sa mère » Cette périphrase insiste sur le fait que Mme de Clèves est dévastée a l’idée de perdre sa mère, elle font en larme sur la main de Mme de Chartres qui apporte une connexion entre les deux femmes. Mme