Les décisions que nos politiciens prennent sont très importante. Pas parce que ça nous concerne directement mais plutôt que ça se répercutera pendant de longues années. Alors les décisions décisives tels que le choix de notre futur énergétique est crucial. Cela ce répercutera pendant des décennies. Nous parlons ici d’investissements, de contrôle, de lois et de constructions.
Nous partons du constat où nous sommes très liés au nucléaire qui nous fournit plus de 50% de notre énergie. Changer radicalement notre système aura un coût qui sera directement perçu par les foyers belges. En ces temps de crises, les factures d’électricités vont exploser. Ce sera pire pour ceux qui utilisent l’électricité pour le chauffage ou pour les familles nombreuses.
De plus, si nous regardons du côté écologique, c’est une catastrophe. Pour équilibrer nos dépenses énergétiques, il faudra augmenter drastiquement nos actuelles usines à charbons et gaz. Alors que chaque année, les conférences pour le climat s’enchaîne que ce soit à Copenhague ou Durban, la consommation électrique mondiale augmente de 10% chaque année. Cette augmentation provient surtout des pays où l’industrialisation explose comme l’Inde ou la Chine.
Cela se traduit par une augmentation considérable de la consommation de combustibles fossiles en particulier le charbon. Le charbon étant l’un des combustibles les plus polluants, les conséquences sont graves. Les rejets de CO2 sont entrain de battre des records. Ce qui entraîne depuis des années le changement climatique qui fait des centaines de morts à travers le monde. À l’heure du réchauffement climatique le mot d’ordre est la baisse de notre empreinte écologique, favoriser le départ du nucléaire pour des énergies fossiles est un retour en arrière. L’Europe qui impose des baisses de rejets de CO2 favorise simplement l’exportation des entreprises européennes vers les pays émergeants où ils ont une main d’œuvre pas chère et une liberté énergétique.
Nous ne sommes pas