Poesie
Lontemps, Lontemps, Longtemps ;
Seul
Seul, devant la glace, l’oeil ecorché d’une larme,
Elle contemple avec effroi,
Ceux a quoi elle n’a jamais voulu ressembler..
Triste , et souillé ; Elle ne comprend que trop tard,
Que l’homme est son poison et l’unique remède.
Regarde, ce qu’ils on faits d’elle, et pourquoi il l’on fait,
A quoi ils ont joué et on prit plaisir,
Leur but ultime, si vain et derisoire
Quelques seconde d’un plaisir si durement volé,
Et aussitôt, le méfait accompli, Les voilas qui reparte
Chantant sur le chemin, ,déjà préssé de la laisser la
Le cœur abandoné sur le carreau
Pillé, deshonoré, tué .
Ne comprenant pas que de toi,
Il avait manquait l’essentiel et le meilleur.
Trop vite aimante de’homme sans moral et sans vertu
Elles apprecie en lui ce qu’elle appelle verilité
Le masque que l’homme s’est cré pour cacher ses faiblesse,
Cacher o combien il est impuissant, et
C’est quand au detour d’un chemin,
Elle crut reconaitre sa voix,
Que pleine de remort, une larme sur sa joue a coulé.
L’énorme trou creusé en a sa poitrine ,
Et les motes deversé par la populasse,
Toute cette agitation flottante et derisoire
Brise l’espoire en toi, et la mort qui lentement se raproche.
Chaque jour coule, coule ..
La vie sur le fleuve de l’enuie.
Parceque non l ’amour ne se resume pas qu’a lui,
Parceque oui, il t’a fait du mal,
Q’il y a d’autre gens meu que lui sur cette terrie,
Qui t’aime et te veulent du bien ,
Je t’en prie, mon amour; Prend ma main.
Marchons ensemble, Partons, loin.
On n’a pas besoin d’eux, Ni de l’eu foutu euro.
La richesse , la vetement , les apparences,
Sont des leurs, ne t’y attarde pas. Viens avec moi.
Sous un sourire doux, elle a su caché
La soufrances et les regret,
Sur lequel le voile du temps est passé
Dans sa vie, les hommes passent
Mais peut vraiment d’elle la retienne,
Cette ange qu’est le mien, la plus belle de toutes,
Notre cadeau de dieux, Ma