Plusdestylobleu
Au fil des années, plusieurs modèles ont reçu ce nom :
le stylo-plume ou simplement « stylo » le stylo-bille (bic en Belgique) le stylo technique ou à pointe tubulaire le stylo-feutre (marqueur) le stylo-pinceau le stylo roller
Le stylo sert aussi d'outil en jonglerie, le niveau technique de la manipulation de stylo est en constante progression au niveau international.
À l'origine, les tablettes étaient gravées avec un roseau ou un burin. Le premier outil que l'on pourrait rapprocher du stylo est le calame constitué d'un roseau taillé dans lequel l'encre s'écoule le long d'une petite fente. Au Moyen Âge, la plume d'oie, utilisée dès le ive siècle sur du papyrus, lui est progressivement substituée par les moines copistes. La plume d'oie (ou d'autres oiseaux, selon l'usage qui en est fait) devient l'instrument d'écriture le plus courant.
En 1636, Daniel Schwenter dans son Delicia Physic-Mathematicae, décrit un stylo fait de deux plumes, une plume servant de réservoir pour l'encre de l'autre plume. Au xviie siècle, le stylo est appelé « plume sans fin », « plume-perpétuelle » ou « plume éternelle »[1].
À la fin du xixe siècle, la plume d'oie est remplacée par la plume métallique. Avec son porte-plume, la plume métallique dont la plus connue en France est la plume Sergent-Major se diffuse dans les écoles. Le stylo a ensuite continué à évoluer techniquement : il voit le jour sous