Planche pour tracer une planche
C'est à dire fabriquer et structurer sa propre pensée, c'est mettre de l'ordre dans un flux important de concept qui nous viennent à l'esprit, c'est aussi se mettre en accord avec soi-même, (il y a sûrement un coté psychanalytique du travail) et ce n'est que lorsque la pensée sera structurée en fonction de nos ancrages personnels, de nos grilles d’appréciation que l'on pourra alors envisager de transmettre sa planche. Car offrir une planche bien structurée, avec une pensée claire, c'est aussi respecter l'autre dans sa différence.Donc montrer aux autres c'est d'abord se montrer à soi-même.Montrer aux autres ce que l'on a compris :Il est important pour le VM ainsi que pour les Surveillants de savoir pour chacun d'entre nous ce qui relève de ce qui a été acquis ou au …afficher plus de contenu…
Qu’est-ce que j’en pense, quelles sont les questions, quelles sont les idées qui me viennent à l’esprit.Ensuite, faites le ménage. Vous n’écrivez pas une encyclopédie ! Conservez les deux ou trois points maximums sur lesquelles vous allez plancher.Sur cette page blanche, commencez par faire un plan général puis un plan détaillé. Et vous commencez à rédiger. Une introduction, les 2 ou 3 points que vous allez développer et la conclusion.· L’introduction situe le sujet et trace le cadre de l’exposé. Analysons le sujet posé. De quoi parle-t-on ? Nous avons tous un dictionnaire des symboles maçonniques. Nous pouvons éventuellement reprendre la définition du symbole à étudier. Mais quel est le but de l’introduction ? C’est d’annoncer le plan que l’on va suivre et de susciter l’intérêt et l’attention de l’auditoire. Les vieux Maçons ont déjà entendu mille fois une planche sur la Pierre Brute, le