Plaidoirie femme battue
L’épisode violent aura lieu, l’auteur donne l’impression de perdre le contrôle de lui-même. Il dit ne pas pouvoir s’en empêcher. La victime se sent démunie, détruite intérieurement.
Elle pense que c’est de sa faute, elle en oublie sa colère, pour que cette violence cesse, elle pense que c’est à elle de changer de comportement... La victime endosse la responsabilité de l‘épisode violent.
Certaine personne peuvent penser, que si elle reste c'est qu'elle aime sa, que c'est leur vie privé et que sa nous ne regarde pas, qu'il est peut être un bon père ou tout simplement, que c'est elle qui le provoque. Tout ceci sont seulement des idées reçu...
Comment échapper aux violences de l’autre, faire cesser l’intolérable ? Partir, se cacher, tout laisser, abandonner un travail, des amis, un foyer, disparaître ?
Mais ces femmes qui parviennent à se plaindre ne sont pas toujours prise au sérieux.
Ou bien, elles se sentent juste coupable d'être une femme...
Des crises de dépression, et ce désir de fuite, permanent et toujours plus important, pouvant aboutir au suicide.
Solutions
Les violences conjugales se déroulent majoritairement dans le secret du privé, cependant des parents, amis, voisins, collègues peuvent avoir été témoins d’épisodes violents ou constaté les conséquences d’une situation de violence subie par la victime. Ces derniers peuvent témoigner de ce qu’ils ont vu, entendu ou constaté.
Il faut réagir, aller vers elle, les protéger et inciter le dialogue.
Toutes ces femmes aurait préféré