Pierre
Dès le début du récit, les deux frères sont présentés de façon identique. Ils apparaissent égaux dans leurs mimiques. Leur réaction au manque de courtoisie de leur père face à Mme Rosémilly est la même. Ils ont des goûts en commun notamment concernant la femme qu’ils convoitent, Mme Rosémilly, et l’appartement qu’ils désirent acquérir. Malgré de nombreuses similitudes, certaines oppositions dans leur portrait et
On peut voir dans ces deux figures antithétiques une certaine ambiguïté s’apparentant à un manichéisme implicite. Leurs différences physiques, morales et psychologiques, dès l’annonce de l’héritage, créent un sentiment de compassion chez le lecteur qui portera toute son attention sur celui qui lui semble être le meilleur. En effet, même le titre, après lecture du roman, devient l’expression de la contradiction
On peut voir dans ces deux figures antithétiques une certaine ambiguïté s’apparentant à un manichéisme implicite. Leurs différences physiques, morales et psychologiques, dès l’annonce de l’héritage, créent un sentiment de compassion chez le lecteur qui portera toute son attention sur celui qui lui semble être le meilleur. En effet, même le titre, après lecture du roman, devient l’expression de la contradiction
On peut voir dans ces deux figures antithétiques une certaine ambiguïté s’apparentant à un manichéisme implicite. Leurs différences physiques, morales et psychologiques, dès l’annonce de l’héritage, créent un sentiment de compassion chez le lecteur qui portera toute son attention sur celui qui lui semble être le meilleur. En effet, même le titre, après lecture du roman, devient l’expression de la contradiction
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