Physiologie sociale
Dans le début du texte l’auteur, pour parler de la transition de régime social de l’époque, explique la première transition ayant eu lieu, celle durant le gouvernement impérial des romains. La révolution philosophique de l’époque était le passage du polythéisme au théisme, une fois installée la révolution politique qui en découle a consisté au passage de l’ancien ordre social au nouveau, de celui des Romains et des Grecs polythéistes à celui des peuples modernes théistes. On voit ici que le changement d’ordre social ne peut se faire sans un changement philosophique. La révolution est d’abord philosophique, une fois que celle-ci se termine la révolution politique a lieu. La transition d’un régime social à un autre engendre des difficultés et des conflits, l’auteur les explique par deux raisons :
La majorité des hommes de l’époque était dans une grande ignorance et barbares, donc quand ces barbares vinrent envahir l’Occident alors qu’elle était en pleine transition, que la lutte des deux systèmes semaient le chaos, l’opposition était impossible.
La deuxième raison est que le système polythéiste et théiste ne permet pas d’entre deux. La transition est donc brutale.
La transition actuelle (de l’époque de l’auteur) s’effectue comme l’ancienne : philosophique puis politique, elle passe d’un régime arbitraire à un régime libéral et industriel. La transition philosophique date de plus de dix siècles quand la culture des sciences positives est arrivée en Europe introduite par les Arabes. L’auteur nous dit que pour finir cette révolution il faut seulement organiser le système positif. La transition politique date de la réforme de Luther, réforme protestante, Luther voulait corriger la doctrine et les abus de l’Eglise catholique, il s’appuie sur le nouveau testament et veut corriger et supprimer ce qui est contraire à ses enseignements. Le problème est