La réflexion philosophique.

Tout d’ abord la philosophie a été une réflexion scientifique sur la nature et les causes qui font qu’existent l’univers, l’homme et la société. Nous pouvons dire aussi que la philosophie c’est un certain nombre de tentatives qui essaient d’expliquer plusieurs sorte de problèmes qui ne sont pas encore arrivées à maturité. Cette pensée se manifeste dans ce sens dès le 7e siècle avant Jésus Christ en Grèce, où Platon et Aristote constituaient les deux plus grandes figures de cette époque et aussi les responsables de cet effort de réflexion.
D’après mes récentes recherches à la bibliothèque et sur le texte de l’auteur, aujourd’hui la philosophie est devenue une discipline très spécialisée et très divisée. Son histoire est longue et prestigieuse, son fond est énorme et partagé en plusieurs branches, c’est-à-dire la philosophie politique, philosophie moral et éthique, philosophie de la connaissance, l’anthropologie et surtout la métaphysique: ses méthodes sont nombreuses et complexes, chaque champs de recherche est rempli de travaux et de positions divergentes.

Avec le christianisme, la philosophie se sépare peu à peu de la théologie (par cette affirmation antérieur nous pouvons donc dire qu’au départ la philosophie faisait partie de la théologie qui a pour définition : étude portant sur Dieu et les choses divines à la lumière de la Révélation).Ensuite avec l’arrivée de Copernic et de Descartes vers le 16e et les 17e siècles, qui eux commençaient à distinguer la philosophie des problèmes physiques, la science prit alors son autonomie.
La réflexion sur l’homme, sa morale et sa liberté se précise avec le système de Leibniz. Ce dernier marque alors l’autonomie de la métaphysique considérée comme une théorie. En d’autres mots, nous pouvons dire que les sciences de l’homme se constituent et se dégagent de la philosophie. L’auteur mets un point aussi sur un mot crée par Leibniz, ce mot en question est l’aperception. Il nous dit :