Philosophie

885 mots 4 pages

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Commentaire sur le texte de Jean Jacques Rousseau:

En philosophie il a toujours étais de question de qualifier l'homme. Les hommes on donc toujours voulus savoir d'où ils venaient et comment ont-ils évolué. Ils se posent donc des questions sur la nature humaine. L' Être humain est donc arrivé a deux conclusions: dans un premiers l'homme se définie par lui même et dans un second temps c'est dieu qui le définis. Cependant la nature humaine semble changer selon les cultures a travers le monde. Mais les cultures sont tellement différente a travers le monde que la question suivante vient à se posée: La nature humaine est-elle universelle ou diffère t-elle selon les cultures ? Dans ce texte l'auteur nous montre que pour raisonné sur la nature humaine un philosophe ne doit pas prendre en compte les cultures mais seulement qu'il est homme. Rousseau commence par critiqué la thèse d'un interlocuteur inconnu, puis il démontre sa critique en s'appuyant sur des augments pour enfin donné sa propre thèse. Après avoir expliqué le texte et le thèse de l'auteur nous allons dégager l'intérêt de la thèse et la confronté à un autre auteur ayant une thèse différente.

Nous pouvons constater que le texte est décomposé en trois parties. Dans la première partie (ligne une à deux) un interlocuteur inconnu donne sa thèse, dans la seconde Rousseau prend parole en contredisant celui-ci et en démontrant la thèse qu'il nous donnera dans une troisième partie. Dans cette première partie de texte nous pouvons constatés que Rousseau reprend la phrase d'un interlocuteur inconnu. Cet auteur fait de sa norme la norme universelle de tous les Êtres humains du monde. Cette thèse vient donc d'un auteur qui fait de l'ethnocentrisme c'est a dire qu'il prend comme référence sa propre culture ou son propre groupe social, en privilégiant les normes sociales de son pays en les valorisant. Rousseau n'est pas d'accord avec celui-ci et le contredit. Rousseau répond

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688 mots | 3 pages

2.1. Écrire l'équation de cette réaction nucléaire. 2.2. Le tritium est radioactif –. Écrire l'équation de la désintégration envisagée sachant qu'il se forme un isotope de l'hélium.….

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1992 mots | 8 pages

Crime passionnel 1 Il fait nuit, tout est calme dans ce quartier résidentiel nantais. Tout le monde dort, sauf un homme. Il est plutôt gros, la cinquantaine, il a l’air fatigué. Il claque la portière de sa voiture et se dirige vers ce qui semblerait être sa maison. Elle a deux étages, les volets sont mi-ouverts à cause de….

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966 mots | 4 pages

Commentaire de texte en philo Arendt commence par une hypothèse comme le montre l’adverbe « probablement » aux lignes 1 et 2. Elle émet l’hypothèse selon laquelle l’automatisation libérera l’humanité du fardeau du travail. A la ligne 2, l’auteure nous dit que le travail est le « fardeau le plus ancien et le plus naturel ». En effet, le travail est la base de toutes activités.….

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872 mots | 4 pages

Synthèse de TPE Pour commencer, mon groupe de TPE est composé de Valentin Raoult, Florian Caillot et moi-même. Nous sommes tous les 3 de bons amis ce qui a facilité le travail. La bonne ambiance dégagée a fait que le travail était plaisant à faire. Ce n’était pas une contrainte. Nous avons choisi comme thème «L’homme et la nature » et comme….

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785 mots | 4 pages

Liberté (cf chap.2) Nous sommes conscients de pouvoir penser par nous-même et sur nous même mais ce n'est pas tout. On se contente pas simplement d'observer le monde et de s'en contenter mais nous agissons en lui : on prend des décisions, on fait des choses. « acteurs » ≠ figurants….

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Les confessions de jean-jacques rousseau
332 mots | 2 pages

Résumé de Les confessions Dans son œuvre, Les confessions, Rousseau raconte sa vie, l’amour vénéré de son père, Isaac pour sa mère. Rousseau nous apprend que sa pensée a été orientée par l’histoire de l’église et de l’empire par le Sueur, par le discours de Bossuet sur l’histoire universelle, par les hommes illustres de Plutarque, l’histoire de Venise par Nani, par les métamorphoses d’Ovide, La Bruyère, Les mondes de Fontenelle, les dialogues des morts. Rousseau tient son patriotisme de son père.….

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310 mots | 2 pages

« AMOUR DES ANIMAUX », par Julien BENDA : CORRIGÉ. Résumé : L’amour des bêtes me caractérise ; certaines m’ont beaucoup impressionné, comme celles dont les écrivains antiques rapportent les exploits ou la mort, ou dont les poètes chantent la grâce. J’aime en elles leur amour pour leur maître. Les bêtes m’attirent : leur mort m’afflige. Les anecdotes qui témoignent de leur proximité morale avec nous m’enchantent, et je déteste les philosophes qui les méprisent.….

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Qu'elle est la meilleure manière d'être libre en société?
1030 mots | 5 pages

Alors, lorsque les hommes sont passés de l’état de nature à la société civile, il ne fallait pas qu’ils perdent leur liberté. C’est pourquoi ils ont perdu leur liberté naturelle, mais ils ont acquis la liberté civile. Comment ont-ils acquis la liberté civile? Ils ont retrouvé leur liberté en créant leurs propres lois. C’est ce qu’on appelle une liberté d’autonomie.….

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Philosophie
1110 mots | 5 pages

PARTIE 4 PROCREATION Comment se met en place l’appareil génital pendant la vie embryonnaire ? Comment fonctionne l’appareil génital féminin ? Comment fonctionne l’appareil génital masculin ?….

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Philosophie
627 mots | 3 pages

"En effet, l'être le plus intelligent est celui qui est capable d'utiliser le plus grand nombre d'outils : or la main semble bien être non pas un outil, mais plusieurs. Car elle est pour ainsi dire un outil qui tient lieu des autres. C'est donc à l'être capable d'acquérir le plus grand nombre de techniques que la nature a donné l'outil de loin le plus utile, la main. Aussi ceux qui disent que l'homme n'est pas naturellement bien constitué, qu'il est le plus désavantagé des animaux, parce qu'il est sans chaussures, qu'il est….

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rousseau 01
794 mots | 4 pages

Tels sont les problèmes énoncés par Le Contrat social et auxquels Rousseau tente de répondre. Le thème fondamental est donc la liberté, et plus encore la liberté comme étant un problème politique. C’est-à-dire la conflictualité entre la liberté et la souveraineté. Pour ce faire, Rousseau opte pour une démarche progressive : le point de départ est un état social fondé sur un faux contrat déguisé conduisant à la perversion et la dégradation de l’homme ; le point d’arrivée est la société faite de lois légitimes et justes, basée sur un contrat partant de la volonté de tous. Le pouvoir ne doit pas conduire à l’aliénation totale et même partielle de l’individu.….

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La justice et la loi
1062 mots | 5 pages

Cet extrait de texte de J.J Rousseau nous conduit à penser que nous avons affaire à un ensemble de raisonnements " par l'absurde" où il nous montre qu'un peuple ne sert pas, mais qu'il obéit. Pour Rousseau, la vie en société ne serait pas une nécessité naturelle mais résulterait d'une libre volonté. Il affirme que c'est pour les libertés que les hommes ont fait naître la loi civile. Par conséquent, le chef doit être le garant de la liberté individuelle de ses membres, aucune forme d'oppression ni de servitude n'étant légitime.….

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Philosophie
3267 mots | 14 pages

Coordination Nationale de la Formation Continuée du Moyen et du Secondaire / Philosophie / Documents de formation de 2004 Gabriel Faye, Nature et culture NATURE ET CULTURE Par Gabriel Faye CP de Philosophie PRF de Louga Introduction Les concepts de nature et de culture sont au centre de la réflexion philosophique. En effet, lorsqu’on réfléchit sur ces deux notions, il est question non seulement de les définir en partant de leur distinction, mais aussi d’examiner la problématique de la nature humaine et partant de régler les questions attenantes au biologisme et au racisme.….

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914 mots | 4 pages

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2564 mots | 11 pages

L’histoire Introduction : les deux sens du mot « histoire » ( texte de Raymond Aron, p. 328 : « Le même mot, en français, en anglais, en allemand s’applique à la réalité historique [premier sens] et à la connaissance que nous en prenons [deuxième sens]. Histoire, history, Geschichte désignent à la fois le devenir de l’humanité [premier sens] et la science que les hommes s’efforcent d’élaborer de leur devenir [deuxième sens] […]. » I. Faire l’histoire : l’historicité de l’homme….

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